Par: Hélène Delafaurie
Les sons ont un pouvoir thérapeutique. Les Egyptiens les utilisaient déjà 3000 ans avant JC. En 1550, les Italiens découvraient les effets thérapeutiques des diapasons, suivis par les Allemands, les Anglais et la France. Chaque organe a une vibration bien définie. Si la vibration de cet organe entre en phase et est augmentée par une autre vibration extérieure, cela peut le détruire ou le soigner en rétablissant la bonne vibration.
Le monde est vibration, tout est vibration et chaque vibration a une fonction ou un but bien défini. Le « Verbe Créateur » n’est autre que la Vibration Originelle, l’ensemble de toutes les vibrations du cosmos et dont nous sommes imprégnés. Les anciens l’avaient parfaitement compris et utilisaient le son dans leur arsenal thérapeutique au même titre que les plantes ou les produits de la ruche. Maintenant les médecins vous regardent d’un œil plein de commisération quand vous leur parlez de thérapies sonores. Pourtant des hôpitaux y viennent doucement, mais la plupart des médecins ne le savent pas !
Table des matières
Les sons chez les Égyptiens
Quand je parlais des anciens, oui, il s’agit des très anciens thérapeutes égyptiens qui utilisaient des mots « sacrés » pour guérir 3000 ans avant JC . Car les mots sont des sons, et les mêmes mots, selon la façon dont ils sont dits et la charge énergétique qui leur est communiquée, peuvent mettre en joie ou rendre mal à l’aise, guérir ou rendre malade. Dans le traité XVI du Corpus Hermeticus il est dit qu’ils n’utilisaient pas « de simples mots mais des sons remplis d’efficace(sic) ». Les incantations étaient répertoriées, leur rythme défini, le nombre de répétitions déterminé. Le prêtre ou le guérisseur pouvait les dire en invoquant le nom de la personne à qui elles étaient destinées ou en sa présence, ou encore en préparant des mélanges de plantes et des médicaments.
Le « Maître des Paroles » était le dieu Horus, mais c’était le dieu Thot (appelé aussi le Grand Hurleur) qui était le créateur de la Langue Sacrée et veillait à l’exacte formulation des incantations, et l’écriture était la matérialisation du son dans la matière. [Nous retrouvons là l’idée du Dr. Tomatis quant à la dyslexie (voir lettre d’information N° 4 ou la page sur la dyslexie)] Le dieu Ptah est celui qui a créé le monde par le son primordial et Pharaon, incarnation de dieu sur terre et maître de la parole, est en quelque sorte « le Verbe qui s’est fait chair » 30 siècles avant Jésus.
Aussi loin qu’on puisse remonter dans l’histoire de l’homme, les rituels initiatiques et les rituels d’adoration des dieux étaient accompagnés de musique et de chants, et les hommes-médecines ont toujours marmonné des incantations pour chasser les esprits et rétablir les bonnes vibrations.
Les mantras hindouistes, soufis ou tibétains
Les mantras, exactement comme les incantations égyptiennes de l’antiquité, sont des mots magiques et des symboles sonores qui ont le pouvoir de protéger, libérer et qui ont des vertus thérapeutiques. Tout le monde connaît le mantra ‘Om’. De nombreux mantras commencent avec ce son primaire. Le plus connu des mantras dans le Bouddhisme est, ‘Om Mani Padme Hum’ (ne me demandez pas la prononciation, le ton, je n’en sais rien. Je pratique OM de façon à ce que toute ma tête, et même mon corps, vibre.)
Les diapasons thérapeutiques
C’est en Italie vers 1550 qu’on a commencé à se servir des diapasons comme instrument permettant de faire de meilleurs diagnostiques concernant les affections de l’oreille moyenne ou interne. Par la suite ce principe passa en Angleterre, en Allemagne, en France vers 1840. C’est le physicien Ernest Chladni qui a pu montrer les vibrations du son à partir des dessins produits dans le sable par les vibrations. Dans les années soixante le scientifique suisse, Hans Jenny, montra que le son O produisait un cercle parfait et que le fameux OM des hindous créait des dessins semblables à ceux des mandalas anciens. En 1974 un musicien de jazz remarquait que certaines notes avaient un effet énergétisant (quelques 20 ans après Tomatis !).
Hélène Grimal, vers la fin des années 70, étudiait au Centre de la Recherche Scientifique de Paris les effets des sons sur les cellules. Selon les notes (les fréquences) utilisées, les cellules changeaient de forme ou de couleur. Le scientifique japonais, Masaru Emoto, montrait l’influence des sons sur l’eau et donc sur le corps humain puisqu’il est composé à 80% d’eau. Mais c’est Barbara Hero, de l’Institut International de Recherche de Lambdoma (Kennebuke, Maine, USA) qui a calculé mathématiquement la fréquence optimale pour chaque organe. Des scientifiques sérieux et dignes de foi !
En partant de la préhistoire égyptienne et en passant par les mantras hindous, choses hautement folkloriques, nous arrivons à des recherches scientifiques très sérieuses, poussées et parfaitement prouvées. Beaucoup de ces recherches ont été basées sur les écrits du Dr. Tomatis.
Chaque organe a donc une vibration bien définie. Si la vibration de cet organe entre en phase et est augmentée par une autre vibration extérieure, cela peut le détruire ou le soigner en rétablissant la bonne vibration. C’est ainsi que des diapasons thérapeutiques posés sur des organes, des chakras ou des points d’acupuncture pourront soigner l’organe, le muscle, le tendon ou l’os malade en rétablissant l’équilibre harmonique.
Chaque diapason produit un son (une vibration calculée en Hertz) et est associé aux chakras, eux-mêmes associés aux organes. On peut aussi y rajouter une couleur, puisque la couleur est également une vibration. Pour prendre une image connue, les diapasons vont accorder votre corps de même qu’on le fait pour un piano. Si on veut aller encore plus loin dans les thérapies sonores et naturelles, on y ajoutera dans certains cas une touche d’aromathérapie.
On utilisera les diapasons de
– 128 Hz et la HE de Mélèze Laricin pour recharger le système nerveux et favoriser la relaxation.
– 250 à 384 Hz avec de l’huile essentielle de Pin blanc pour harmoniser le système nerveux et augmenter la vitalité.
– 64 Hz et l’HE de Pin rouge activera la circulation sanguine.
– 172,06 Hz sur le 7ème chakra pour avoir un esprit clair et joyeux. Violet. Glande pinéale.
– 221,23 Hz sur le 6ème chakra pour équilibrer l’intellect et l’intuition. Jaune-orangé. Glande pituitaire et hypothalamus.
– 141,27 Hz sur le 5ème chakra pour résoudre les problèmes de communication. Bleu. Thyroïde et thymus.
– 136,10 Hz sur le 4ème chakra contre le stress et l’anxiété. Turquoise. Cœur.
– 126,22 Hz sur le 3ème chakra pour se recentrer sur soi-même. Vert. Pancréas.
– 210 ,42 Hz sur le 2ème chakra pour améliorer la communication érotique. Orange. Glandes surrénales.
– 194,18 Hz sur le 1er chakra pour renforcer sa vitalité. Rouge. Ovaires et testicules.
Hélène Delafaurie est professeur d’université au Japon. Passionnée de médecine naturelle ou alternative elle teste sur elle toutes les méthodes dont elle parle. Elle est un terrain de choix car, suite à un accident de voiture, elle a passé 3 ans en hôpital et en rééducation pour soigner ses 23 fractures.
Source : Contenu Gratuit / Médecine Alternative
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A votre santé
niko
2 commentaires
Avec des voyelles chantés par la voix d’un thérapeute sur quelqu’un, position assise, on peut aussi travailler sur la colonne, faire l’alignement ses cervicales dont l’atlas, source de nombreux maux, et sans solutions acceptable de la médecine classique. Il y a maintenant des thérapeutes qui le propose possible dans plusieurs villes Bordeaux…
Et à propos de Sons thérapeutiques Tomatis, beaucoup de domaines sont touchés, ils améliorent beaucoup dans notre communication avec autrui, équilibre émotionnel, sommeil, psycho moteur, niveau énergétique…
Cela évolue encore et des Dvds pour travailler chez soi deviennent accessible.